Superheavy elements and Scientists


   Elements Superlourds 2010
   Elements Superlourds 2003
   Seaborg paper about Superheavy elements

   Elements Superlourds 2010

Un nouvel élément super-lourd a été découvert par des chercheurs russes et américains. Il est à peu près 40% plus lourd que le plomb et s'appelle pour l'instant ununseptium
L'élément 117 vient compléter la table périodique des éléments chimiques. Son nom : l'ununseptium. Il se rapprocherait de l'îlot de stabilité, lequel constituerait un ensemble de noyaux super-lourds qui se désintégreraient moins vite que ceux produits dans les accélérateurs. De nouveaux matériaux, très spéciaux, pourraient ainsi être mis au point.C'est une équipe de chercheurs américains et russes qui a découvert l'élément. Ils en ont fabriqué six atomes dans un accélérateur de particules, en faisant entrer en collision des atomes de calcium avec un autre élément lourd et rare, le berkélium.L'élément 117 n'est pas stable, tout comme les autres atomes super-lourds, et ne dure qu'une fraction de seconde avant de s'autodétruire et de se diviser en d'autres éléments et particules plus légers

C'est le type d'annonce que les physiciens nucléaires ont l'habitude de faire. Si l'on se penche en détail sur ce qu'il est dit : sitôt créés , sitôt disparus , et c'est suffisant pour braire que de nouveaux éléments ont été créés.
Mais de telles annonces avaient déjà été faites en 2001.

BERKELEY, CA - Discovery of two new "superheavy" elements has been announced by scientists at the U.S. Department of Energy's Lawrence Berkeley National Laboratory. Element 118 and its immediate decay product, element 117, were discovered at Berkeley Lab's 88-Inch Cyclotron by bombarding targets of lead with an intense beam of high-energy krypton ions. Although both new elements almost instantly decay into other elements, the sequence of decay events is consistent with theories that have long predicted an "island of stability" for nuclei with approximately 114 protons and 184 neutrons.
"We jumped over a sea of instability onto an island of stability that theories have been predicting since the 1970s," said nuclear physicist Victor Ninov who was first author of a paper that has been submitted to Physical Review Letters.

Il y eut peu après une rétractation officielle de ces scientifiques auprès de Physical Review Letters.
Un petit calcul permet de situer le grotesque de l'attitude de ces rigolos, tant physiciens nucléaires que journalistes :
Soit 300 g la masse d'un noyau superlourd créé. Pour en produire un milligramme , une simple règle de trois montre que si pour 300 g il y a 6,02 x 10^23 noyaux , alors, pour 1 mg il y aura 2 x 10^18 noyaux. Soyons sympas et disons que les noyaux sont stables, de plus supposons qu'il se produit 1 noyau par seconde ; il faudra donc 2,32 x 10^13 jours pour produire ce mg , ou 6,36 10^10 années , soit 63,6 milliards d'années .
L'âge de l'univers est de 13,7 x 10^9 années , soit 13,7 milliards d'années , ... rigolons , il s'agit seulement d'un Kg de bismuth.
L'âge de la terre est de 4.6 milliards d’années.
Aussi l'abruti de scientifique expert de l'Académie des Sciences qui a jugé improbable mon concept de synergie de réactions nucléaires devrait revoir son idéologie.
Le fait est que ces physiciens nucléaires ne peuvent accepter d'être ridiculisés par des alchimistes qui plusieurs siècles avant eux avaient mieux compris les propriétés nucléaires de la matière qu'eux aujourd'hui. Ils veulent aussi faire croire que sans haute technologie nullle découverte n'est possible, une façon astucieuse de bloquer toute tentative de recherche nucléaire par des pays sous-développés, et ça marche car leurs scientifiques éduqués dans les universités US ne peuvent concevoir qu'il existe des voies plus réalistes (naturelles) de production des éléments superlourds.
   Elements Superlourds 2003

250 scientists from 33 countries arrived in Moscow. They represented all major scientific centers involved in nuclear physics. Unfortunately, the Chinese couldn’t join the conference due to a SARS epidemic. Joint Institute of Nuclear Studies (Dubna, Russia) was responsible for organizing the conference. Secretary of the previous conference that was held in 2000 in Strasbourg, France, Dr. Daniel Gerot (France) said that over the last three years the Dubna Institute has conducted some of the most outstanding work as regards to a synthesis of super-heavy elements and reaching a so-called “island of stability”.

Here’s a reality: the Dubna Institute is getting ready to carry out an experiment meant to obtain a super-heavy element with number 108. Its life span will be comparable to the age of the Earth. Should an experiment be a success, it will not only entail a revolution in nuclear physics, it will cause a revolution in the most fundamental notions with regard to the structure of matter, of the Earth and Universe
12:51 25.06.03 WWW.INAUKA.RU

I am still waiting for the result of the experiment.
What is sure is that nuclear scientists love to congratulate themselves and spend the taxpayer money.
   Seaborg paper about Superheavy elements

G. Seaborg, Nobel price for his discovery of Plutonium was very interested by the discovery of SHE; he wrote a paper about it . In 1984 at the Congress of the American Chemical Society in Seattle, G. Seabord made the introductory speech : he choose Superheavy elements. A scientist from Tucson asked him why nobody tried to synthesize SHE using fluoride, Seabord escaped the question.




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Most recent revision Tuesday 12 April 2010